Jeudi
21 octobre, Jean Castex annonçait une « indemnité inflation »
de 100 € pour chaque Français touchant moins de 2000 € par mois.
Une tentative d'éviter l'explosion sociale sur fond de pénuries et
de hausse du prix de l'essence, alors que l'exécutif semble n'avoir
aucune stratégie viable pour enrayer la crise.
Face à des
marchés devenus fous, le gouvernement peut-il espérer longtemps
tout régler simplement en signant des chèques, sans mener une
politique industrielle digne de ce nom ?