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In Monsieur Lecoq, two men are found dead at a bar in a seedy area of Paris, and a third man, wounded, stands in the doorway and dies shortly afterwards. To the Inspector of Police, the case seems straightforward – a pub brawl that ended in murder – but Lecoq is unconvinced and is permitted to investigate further with the help of an older officer, Father Absinthe. In the course of his investigations – which take an ever-tortuous direction – Lecoq is assisted by the ‘armchair’ detective Tabaret.

Émile Gaboriau (1832-1873) reconocidísimo escritor francés considerado uno de los padres de la novela de detectives. Su personaje, el investigador Lecoq, es el primer policía profesional de la literatura. Se ha cometido un asesinato en los terrenos del Castillo de Valfeuillu, propiedad del conde de Tremorel. Dos cazadores furtivos han encontrado el cadáver de su esposa Berta sumergido en un cañaveral... (Introducción por Phileas Fogg)

UNE INTRIGUE QUI MULTIPLIE LES PIÈGES ET LES FAUX-SEMBLANTS. Mademoiselle Henriette, une jeune fille qui vit dans le plus grand dénuement, est sauvée in extrémis du suicide par son voisin brocanteur, le père Ravinet. Alors qu'il s'apitoie sur le sort de la malheureuse, son attention est attirée par deux lettres laissées sur la commode. Elles sont, selon les instructions d'Henriette, à porter après son décès au Comte de la Ville-Handry et à Maxime de Brévan.

Par une sombre nuit d'hiver, une petite troupe de policiers fait sa ronde dans les terrains vagues des barrières. Soudain, d'atroces cris se font entendre en provenance d'un cabaret de triste réputation, la Poivrière. Les policiers accourent, mais il est déjà trop tard : trois cadavres gisent sur le sol tandis qu'un homme à l'air féroce et déterminé tient les policiers en joue, prêt à s'enfuir. C'est grâce au seul sang-froid d'un jeune agent, Lecoq, que l'on parvient à s'en saisir.

The Mystery of Champdoce is the brilliant conclusion to Gaboriau's cycle of mystery stories, The Slaves of Paris. Starting years before the events of Caught in the Net, this sequel recounts the history of the Duke de Champdoce, revealing what misfortunes laid the groundwork for Monsier Mascarin's plot against him, a plot that can be solved only by Gaboriau's great detective, Monsieur Lecoq.

Caught in the Net, the first volume of Gaboriau's Slaves of Paris, centers on two young, penniless men who become trapped in a net of corruption and deception. Andre, a painter, is in love with Sabine, but they must meet in secret for Sabine comes from a noble family and Andre most prove his worth in society before they are able to marry.

Messier Lehan had been plaguing Messier LeCoque for years to let him write up some of his interesting criminal cases. He considered him the most popular citizen of Paris and certainly the greatest detective of the time. And he finally gave in and agreed to allow him to write up his last case for his paper, The Murder of the Little Pig, alias Henri Coudrai the little hairdresser.

Emile Gaboriau first introduced the young police officer and detective Monsieur Lecoq in his novel L'Affaire Lerouge. He based his character on an actual thief who later became no less than the head of the Paris police -- Eugine Francois Vidocq. As a character, Lecoq would later influence Arthur Conan Doyle in his creation of Sherlock Holmes. In this, his first foray into detection, Lecoq reveals his mastery of the art of disguise and his zeal for detection. Monsieur Lecoq: Volume I is the first of a two-part novel and details the crime and ensuing investigation.

Set primarily in a series of small towns on the Seine that are now suburbs of Paris, The Mystery of Orcival revolves around a love triangle consisting of the wealthy Clement Sauvresy; his beautiful but modestly born wife, Bertha; and his old college friend, Count Hector de Tremorel. Stricken with a sudden illness, Sauvresy begs the other two to marry after his death, which they do. The couple live happily until the body of the Countess is found floating in the Seine by a poacher named Bertaud and, a short time later, the Count’s body is also found.

UNE ENQUÊTE BRILLANTE À TRAVERS LES YEUX D'UN SUSPECT ACCUSÉ DE MEURTRE. Le château de Valpinson est en feu et son propriétaire, le comte de Claudieuse, a été grièvement blessé par balle. Un paysan un peu simplet a cru reconnaître l'agresseur du comte : il s'agirait de Jacques de Boiscoran, un voisin qui entretenait des relations houleuses avec le Comte.

L'UN DES PREMIERS ROMANS POLICIERS. DÉJÀ TERRIBLEMENT EFFICACE ET PRENANT ! La veuve Lerouge, une bonne femme apparemment sans histoires, a été sauvagement assassinée dans sa petite maison de Bougival. La femme passait pour riche et la police, dépêchée sur place, a tôt fait de conclure que c'est pour la voler qu'on l'a ainsi tuée. Mais Lecoq, qui n'est encore que le jeune aide de camp perspicace du chef de la sûreté, ne tarde pas à découvrir une forte somme en pièces d'or dans un tiroir. La thèse du meurtre crapuleux s'écroule et c'est ailleurs qu'il faut chercher le mobile du crime.

La Comtesse de Trémorel, l'une des plus belles femmes de France, est retrouvée assassinée dans la rivière qui borde sa propriété par deux braconniers en maraude. Le Comte de Trémorel, lui, est introuvable. Un vêtement découvert dans la rivière laisse à penser qu'il a subi le même sort que son épouse. Une scène d'une violence inouïe semble s'être déroulée au château : le mobilier a été sauvagement brisé, des traces de sang maculent le sol et les murs. Les fauteuils ont cependant été méthodiquement éventrés : cherchait-on quelque chose ?

MEURTRES, VOLS, TRAHISONS : LES EFFETS DÉLÈTERES DE L'APPÂT DU GAIN. Dans cette famille bourgeoise et rangée du second empire, la soirée s'annonce des plus tranquilles : Vincent Favoral, caissier de la banque Thaller, reçoit quelques habitués à dîner en famille. Elle vire au drame lorsque Thaller fait irruption en accusant Favoral de détournement de fonds. Favoral paniqué, et encouragé par son patron à se soustraire à la police, s'enfuit. C'est la stupéfaction parmi les convives. Favoral passait en effet pour un homme probe et ordonné, scrupuleux jusqu'à l'excès.

La police découvre à Paris, dans le quartier des Batignolles, le cadavre d'un vieillard baignant dans une mare de sang. À côté de la victime, en grosses lettres mal formées avec du sang et cependant lisibles, on lit : "MONIS". Les soupçons se portent rapidement sur le neveu du vieil homme, un dénommé Monistrol, auquel le vieillard venait de refuser un prêt et qui devait hériter d'une grande fortune au décès de son oncle. Rapidement accusé, Monistrol avoue sa culpabilité.

Au terme du premier tome de cette enquête fleuve, Monsieur Lecoq ne parvient pas, malgré sa ténacité et son sens de la déduction, à confirmer son intuition concernant le meurtre de "La Poivrière". Le principal suspect, un dénommé Mai, semble vraiment être ce qu'il affirme : un saltimbanque brutal pris dans une querelle de boisson qui a dégénéré. Consulté en désespoir de cause, le Père Tabaret, son mentor, a pourtant tôt fait de valider ses soupçons : Mai et le Duc de Sairmeuse, le descendant de l'une des plus illustres familles françaises, ne font qu'un.

UN SCÉNARIO À MULTIPLES REBONDISSEMENTS, QUI S'APPARENTE À CELUI D'UN EXCELLENT THRILLER. Invraisemblable ! 350 000 francs, une véritable fortune, ont été volés sans effraction dans le coffre de la banque Fauvel. Seuls le banquier et le caissier principal, Prosper Bertomy, jeune homme ami de la famille, en possédaient la clef. Ce dernier a beau clamer son innocence, il est rapidement accusé du vol, d'autant que l'on découvre qu'il mène grand train et entretient une maîtresse dispendieuse.

PARIS SOUS LA COUPE DE MAÎTRES CHANTEURS. Pendant vingt-cinq ans, trois bourgeois sans scrupules - un médecin, un avocat et le directeur d'une agence de domestiques - ont patiemment recueilli des informations compromettantes sur la bonne société parisienne. Ils peuvent enfin mettre leur plan à exécution. Quelles meilleures professions que les leurs pour connaître les secrets et les turpitudes de la population ? Les gens sont indiscrets, médisants ; ils apportent d'eux-mêmes les brins de la corde qui les enchaîne peu à peu, tels des esclaves, à leurs maîtres chanteurs.

Deuxième partie. Vingt-cinq ans. C'est le temps qu'il aura fallu à trois bourgeois sans scrupules - un médecin, un avocat et le directeur d'une agence de domestiques - pour glaner suffisamment d'informations compromettantes sur la bonne société parisienne et mettre enfin leur plan à exécution. Pas de meilleures professions que les leurs en effet pour connaître les secrets et les turpitudes de la population. Les gens sont indiscrets, médisants ; ils apportent d'eux-mêmes les brins de la corde qui les enchaîne peu à peu, tels des esclaves, à leurs maîtres chanteurs.